Religio Romana : Cela est la Vérité

Il y a plus de 2000 ans, les dieux olympiens firent descendre un série de textes sacrés (l' Énéide et les Métamorphoses sont les œuvres les plus connues) sur l'humanité pour la guider. Ils appelèrent les Hommes à se diriger vers la vérité en adhérant à ces nouveaux Livres puisqu'ils sont la suite logique des anciens Livres (l'Iliade, l'Odyssée, la Théogonie, etc...), tout en les corrigeant parfois car les Grecs ont falsifié certaines de leurs paroles. Depuis le jour de leur révélation jusqu'à la fin de l'Âge de Fer, ces ultimes Livres divins demeureront les seus guides de l'humanité.

Dès la révélation de ces Livres, ceux-ci possédaient un langage et un ton accessibles à tout le monde et à tous les temps. Le style incomparable des textes sacrés latins et la sagesse supérieure qu'ils renferment sont des preuves irréfutables qu'il s'agit bien là de la parole des dieux de l'Olympe.

Mais ces Livres possèdent aussi de nombreux attributs miraculeux prouvant leurs essences divines: un certain nombre de vérités scientifiques, que seule la technologie des 20ème et 21ème siècles, nous a permis de découvrir, étaient déjà affirmées dans les textes sacrés latins voici plus de 2000 ans.

Ces Livres ne sont, bien entendu, pas des ouvrages scientifiques. Cependant, de nombreux faits scientifiques, exprimés dans ses vers d'une manière extrêmement concise et profonde, n'ont été découverts qu'au moyen de la technologie des 20ème et 21ème siècles. On ne pouvait tout simplement pas détenir ces connaissances que nous indiquons maintenant au lecteur, à l'époque de la révélation de l'Énéide ou des Métamorphoses, et c'est là une preuve supplémentaire qu'ils sont la parole des dieux.

Jupiter et Thétis - Dominique Ingres

Afin de comprendre les miracles scientifiques des Livres sacrés latins, nous devons d'abord considérer le niveau de la science à l'époque où ils ont été révélés. Alors on saisit effectivement mieux leur nature extraordinaire .

Quand ces textes ont été révélés, la société romaine comptait de nombreuses superstitions et des concepts scientifiques sans fondement. Ne possédant pas la technologie pour étudier l'Univers et la nature, les Romains anciens croyaient à des légendes héritées des générations passées et ne les remettaient pas en question.

C'est dans cette atmosphère emplie de légendes et de mythes que les textes sacrés latins ont été révélés. Ils remplacèrent l'ignorance par la connaissance et les théories sans fondement par des conseils et des certitudes.

Témoignages :

Il m'est particulièrement agréable, d'apporter ma part d'explication sur le développement humain contenu dans les vers théogoniques. Il est parfaitement clair que ces vers ont bel et bien fait l'objet d'une révélation des dieux olympiens, au messager Hésiode, car une grande partie de ces connaissances n'a vu le jour que des siècles plus tard. Cela est pour moi, la preuve que le Messager Divin Hésiode est bien un intermédiaire des Dieux de l'Olympe. (Dr Abdul Benkhedda, Professeur Émérite, Département de physiologie, Université du Caire, Égypte. Auteur de plusieurs livres médicaux)

Hésiode rapporte dans son livre "La Théogonie" l'extrait suivant concernant la création des océans :

Et puis, elle (Gaïa) enfante [...] la mer stérile qui bout furieuse, Pontos (Pontus) ; mais pour cela, ne s'étant point unie d'amour. Et puis, unie à Ouranos (Uranus) : elle enfante Okéanos (Océan) aux tourbillons profonds [...].

Pendant la première période terrestre, l'Hadéen, la géologie nous apprend que vers - 4 500 Ma (4,5 milliards d'années) les océans ont commencé à se former dès que la température de surface est devenue inférieure à la température critique de l'eau (374,2 °C — dans le cas où la pression atmosphérique était supérieure la pression critique de l'eau égale à 225 bars), mais plus probablement en-dessous de 350 °C. Ce processus se terminera vers - 4 300 Ma. Il est inutile de noter que ces océans ne pouvaient pas encore abriter la vie. Cette dernière est apparue entre 3,5 à 3,8 milliards d'années dans des océans aux températures plus clémentes via le bombardement de comètes ou autres corps rocheux apportant des quantités de molécules organiques complexes (lithopanspermie).

Finalement, quand on confronte la religion greco-romaine aux sciences les plus modernes, on peut s'étonner de la convergence des explications de la formation des océans primitifs. En effet, la religio romana relate dans un premier temps la présence d'océans aux températures élevées et ne pouvant abriter la vie (Pontus). Ensuite, dans un deuxième temps, quand les conditions furent viables, une fécondation venue du ciel (Uranus) permis la création d'un océan fertile (Océan).

Ce passage est bien la preuve qu'Hésiode est un messager des dieux olympiens. En effet, à l'époque où "La Théogonie" a été écrite, les Grecs n'avaient aucuns moyens d'avoir ces connaissances géologiques.

C'est en lisant les textes d'Hésiode que le célèbre océanographe Jacques-Yves Cousteau a vu sa vie complètement bouleversée et s'est converti à la religio romana. C'est aussi en cet honneur qu'il devint le commandant de la Calypso (référence en la nymphe maritime du même nom de la religion greco-romaine).

L' Énéide possède un style étonnant et inimitable sur le plan littéraire. Il est nécessaire de préciser que l' Énéide s'adresse à tous les hommes de tous âges. Quel que soit le niveau d'éducation et de culture du lecteur, le langage de l' Énéide y est clair et compréhensible, et accessible à tout le monde.

L'une des raisons pour lesquelles l' Énéide est décrite comme un miracle repose sur le fait que rien de semblable ne peut jamais être écrit par une main humaine. Plus cette impossibilité est grande, et plus la dimension du miracle que nous avons devant nos yeux est élevée. Par conséquent, le fait que le style de l' Énéide n'ait jamais pu être imité par aucun des milliards d'êtres humains qui se sont succédés durant des siècles, est l'une des preuves de son caractère miraculeux.

Du point de vue littéraire, l' Énéide est considérée comme un spécimen de la langue latine pure, composée tel un poème. On dit que dans certains cas, les grammairiens ont adapté leurs règles afin de concorder avec certaines phrases et expressions usitées dans l' Énéide, et que bien que plusieurs tentatives aient été faites pour produire un travail d'un style aussi élégant que celui-là, aucune n'a abouti.

La nature supérieure de l'agencement des rimes dans l' Énéide

L'un des éléments qui donne à l' Énéide son caractère inimitable découle de sa structure littéraire. Bien qu'écrit en langue latine, la formulation de l' Énéide ne ressemble en rien à celles utilisées dans la littérature latine.
Le système de rimes composant l' Énéide est connu sous le nom de "l'hexamètre dactylique".

Schéma général

L'Énéide est composée de douze chants.
Or le douze est un nombre hautement composé (c'est à dire un entier qui possède plus de diviseurs que n'importe quel entier positif inférieur à lui).
Le système duodécimal (1210 (12) = 1012), qui est l'usage de 12 comme facteur de division pour beaucoup de poids et mesures historiques.
Le plus petit carré trimagique connu à ce jour est d'ordre 12.
Douze est la superfactorielle de 3 : sf(3)= 1! x 2! x 3!
Il y a douze mois dans une année.
Midi et minuit correspondent à la douzième heure.
Le zodiaque possède douze signes.
Les divinités olympiennes sont au nombre de 12.
Il y a normalement douze paires de côtes dans un corps humain.
Etc...

Schéma métrique de l'hexamètre dactylique de l'Énéide

Comme son nom l'indique, il est composé de six mesures ou mètres comprenant chacune un pied dactylique (– U U).

Voici un extrait du Livre VI vers 285 à 289 :

Multaque praeterea uariarum monstra ferarum:
Centauri in foribus stabulant, Scyllaeque biformes,
et centumgeminus Briareus, ac belua Lernae
horrendum stridens, flammisque armata Chimaera,
Gorgones Harpyiaeque et forma tricorporis umbrae.

En vertu de la règle de contraction, chaque dactyle peut être remplacé en toute place par un spondée (– –). L'avant-dernier pied reste cependant dans l'immense majorité des cas un dactyle. Le dernier pied est un spondée ou un trochée (– U), la dernière position syllabique pouvant être considérée comme indifférente (anceps ; notée U, c'est-à-dire « brève ou longue »).

Le modèle théorique est donc le suivant :

    – U U | – U U | – U U | – U U | – U U | – U

En considérant toutes les contractions possibles, c'est l'équivalent de :

    – – | – – | – – | – – | – – | – U

Il est donc possible de ramener l'hexamètre dactylique au schéma suivant :

    – UU | – UU | – UU | – UU | – UU | – U

Césures

Rappelons que dans la métrique gréco-latine, la césure ne peut pas couper un mot.

Dans l' Énéide c'est la penthémimère qui est la plus utilisée, puis la combinaison trihémimère - hepthémimère (césure après le 3e et après le 7e demi-pied). Un même vers peut comporter plusieurs césures possibles :

- penthémimère : après le cinquième demi-pied (un demi-pied correspond ici à – ou UU)
→ – UU | – UU | – // UU | – UU | – UU | – U ;
- double césure trihémimère et hepthémimère :
→ – UU | – // UU | – UU | – // UU | – UU | – U.

Fragment d'un manuscrit de L'Enéide, Virgile (1er siècle avant JC)

Conclusion

La composition du schéma métrique de l'hexamètre dactylique dans un poème de 200 à 300 lignes, peut aboutir à un travail d'une grande qualité, d'une qualité suffisante pour être décrit comme étant un chef d'oeuvre par les critiques littéraires contemporains. Cependant, en gardant à l'esprit la longueur de l' Énéide, les informations qu'elle contient et ses sages exposés, l'extraordinaire manière avec laquelle son schéma métrique est utilisé devient encore plus clair et plus beau. L' Énéide, en effet, contient un océan d'informations sur un très large éventail de sujets. Ils comprennent la religion et un guide de moralité (travail de la terre -labor-, respect des aïeux, des dieux et de la patrie -pietas-, le courage -virtus-, la sobriété -frugalitas-, etc…), des leçons issues de l'histoire d'Énée et de ses contemporains, le message des héros et les messagers des dieux, les sciences physiques et les récits historiques d'évènements importants. Mais tout ceci, quoique merveilleux en soi, est raconté avec un rythme littéraire et une excellence des plus fantastiques. Il est tout simplement impossible qu'un livre comme l' Énéide, avec tant d'hexamètres dactyliques, abordant des sujets si variés et si instructifs, soit l'oeuvre d'un être humain. De ce point de vue, il n'est pas surprenant que les linguistes latins décrivent l' Énéide comme étant "définitivement inimitable".

Ovide rapporte dans son livre "Les Métamorphoses" l'extrait suivant concernant le roi Midas :

"Bientôt à cette même place une forêt de roseaux se balance, et l'automne qui les mûrit vient trahir celui qui les a semés ; car les tiges balancées par le Zéphyr (vent du Nord-Ouest) laissent échapper les paroles confiées à la terre, et racontent le secret des oreilles de Midas."

Le corps humain, pour toutes ses surfaces d'échanges (échanges gazeux, échanges liquides, absorption, etc...) comptabilise 2 à 3 m² de surface. Un arbre moyen d'Europe, si l'on comptabilise les racines, les feuilles, le tronc, totalise une surface d'échanges variant entre 150 à 250 hectares, soit de 1,5 à 2 millions de m² !

On a observé dans des fermes d'élevage en Afrique du Sud que les troupeaux d'antilopes kudu étaient régulièrement décimées après avoir dévastés des bosquets d'acacias. Or il s'avère que cette plante possède à l'état naturel une toxine (une substance cyanogène) en petite quantité et par conséquent inoffensive. Mais quand 'acacia est très fortement attaqué par des herbivores et que sa vie est en jeu, il secrète alors la toxine en forte quantité qui devient mortelle. Mais ce qui est le plus étonnant c'est que les arbres suivant la direction du vent secrètent eux aussi cette même toxine même s'ils n'ont pas été attaqués par les herbivores ! En fait, l'arbre attaqué émet un message gazeux sous forme d'éthylène qui n'a aucune fonction dans l'auto-défense de la plante incriminée ; si la seule fonction de ce gaz est d'alerter les arbres voisins c'est qu'il y bien une volonté de communiquer.

Le célèbre botaniste Francis Hallé a révélé dans son livre "Plaidoyer pour l’arbre" (page 40) que certaines plantes pouvaient être qualifiées de "timides"parce qu'ils ne s'approchent pas de leurs congénères. Quel que soit leur nombre, quelles que soient leurs formes, quels que soient les nouveaux-venus, leurs feuillages ne s'entremêlent pas. Ils laissent 30 cm entre leurs feuilles et celles de leur voisin. Ils peuvent continuer à pousser et à grandir vers le haut, mais ils ne s'étaleront jamais si le feuillage d'un de leurs congénères est à 30 cm du leur. Cela implique que l'arbre communique par messages gazeux au niveau de ses feuilles.

La timidité chez le Camphrier de Bornéo (Malaisie), vue aérienne
Photo : Francis Hallé

Si on compare donc la science moderne au texte d'Ovide on est tout à fait effaré ! En effet l'écrivain romain insiste sur rôle du vent Zéphyr dans le message fournit par les roseaux . Or les Grecs et Romains ne pouvaient connaître les échanges gazeux entre plantes car ils n'en avaient tout simplement pas les moyens scientifiques ! Le seul moyen qu'a eu Ovide de pouvoir ajouter ce détail est bien qu'il a eu une inspiration de la part des dieux de l'Olympe !

R.Abdul, professeur de botanique au Jardin Botanique de Sanaa (Yémen), de renommée mondiale dans son domaine (son livre "The Last Rainforest" a été traduit en neuf langues), a déclaré, après avoir étudié et comparé tous les écrits de la religion greco-romaine ayant trait à la botanique avec les données modernes : "Cela me donne la certitude qu'ils (les auteurs des textes sacrésgreco-romains) sont des messagers des dieux de l'Olympe".